La Vente Dialoguée (2) fleuron de la Nouvelle Culture

En effet, la Vente Dialoguée (ou VD) qui est en fait une méthode de vente en soi, doit recevoir l’agrément pour être implantée dans une entreprise, d’une part de la partie Marketing de l’entreprise, mais aussi bien sûr des chefs de vente, et accessoirement des responsables de la formation et du recrutement. Le mieux est d’avoir d’abord l’agrément du PDG et ensuite d’expliquer le système aux autres cadres. Une fois bien présenté, ce module recueille l’adhésion de tous facilement car son langage est proche de celui des cadres de terrain.
En restant au niveau des descriptions, nous pouvons dire que le système fonctionne un peu comme un thermostat : tant que les clients/prospects n’ont pas le langage et le comportement d’acheteurs on continue à les rencontrer et à leur parler.
Et une fois que le client/prospect parle des produits/services avec le langage propre aux clients fidèles, on ralentit, voire même, on stoppe quelque temps les échanges sur ces produits-là…jusqu’au moment où, de nouveau, le système constate des pertes d’informations ou de satisfaction, de certains clients. Alors la machine se remet en route.
On voit clairement que cette machine comporte trois fonctions :
1. recueillir des situations présentes ici et maintenant,
2. analyser les langages et les adhésions des clients,
3. et, selon les analyses, continuer le dialogue ou le mettre en pause… et retour au point 1.
Et pendant ce temps-là, le virus s’amuse, (e-book)
Covid : un exemple de manipulation
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Covid-19 : un exemple de manipulation de l’opinion, par Jean-Yves Le Gallou

Polémia prend ses quartiers d’été, tout en gardant un œil attentif sur l’actualité. En attendant la rentrée, la publication de textes inédits se poursuit mais vous retrouverez également chaque jour l’un des articles les plus consultés depuis l’été dernier sur Polémia. Aujourd’hui, retour sur une conférence de Jean-Yves Le Gallou sur l’hystérie médiatique et politique autour du Covid.
Par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia ♦ Variant omocron, passe vaccinal, menaces de nouvelles restrictions des libertés… la crise sanitaire n’en finit pas ! Encore faut-il se garder des emballements, garder l’esprit critique et la tête froide. Et éviter de tomber dans tous les panneaux de la propagande. Pour contribuer à ce nécessaire éclairage, nous livrons ici à nos lecteurs la transcription de la conférence tenue le 28 août 2021 dans le cadre de l’université d’été de Renaissance catholique.
Polémia
La conférence en vidéo
Retranscription de cette conférence :
Le Covid : une « série » effrayante
Avant d’essayer de tirer les leçons de ces dix-huit mois de délire covidien, je vais d’abord décrire le feuilleton que nous vivons. L’affaire du Covid, c’est un peu une série comme il y a une série, des séries, à la télévision ou sur Netflix. Pratiquement toutes les semaines, toutes les quinzaines, il y a un nouveau thème qui va occuper tous les médias et par là même tous les esprits. Je vais évoquer chronologiquement ces différentes séquences avant d’en tirer des leçons.
Séquence 1 : grande peste ou grippette ?
Quand on a commencé à parler du virus apparu en Chine, la première question, a été : grande peste ou grippette ? Si vous regardez les principaux médecins médiatiques, Raoult compris d’ailleurs, à un moment ou à un autre ils ont été sur la thèse grippette ou sur la thèse grande peste. Je vais là être un peu factuel, il faut être un peu factuel, avant de décrire tout ce qui s’est dit lors de ces différentes séquences.
En fait, ce n’est ni une grippette ni une grande peste. Ce n’est pas une grippette au moins pour deux raisons. D’abord, c’est du point de vue létal plus important qu’une grippe ou en tout cas plus important que la majorité des grippes, à l’exception des grippes un peu plus fortes qui peuvent survenir tous les quatre ou cinq ans. C’est donc plus létal qu’une simple grippe et, ce qui est peut-être l’élément le plus troublant, ce n’est pas saisonnalisé. La grippe, en gros, c’est de novembre à avril, de novembre à mars ; là, apparemment, le virus peut circuler de manière non, ou moins saisonnalisée. Donc ce n’est pas une grippette, c’est objectivement un peu plus ennuyeux qu’une grippe. C’est un peu plus qu’une grippette aussi parce qu’il y a un élément quand même important d’occupation des services hospitaliers, des services de réanimation, comme c’est le cas d’ailleurs lors des grippes les plus importantes : on voit alors dans la presse que les hôpitaux sont saturés par la grippe, les services d’urgence sont dépassés, les services de réanimation sont dépassés. Il y en a eu encore récemment, il y a quelques années, mais ce n’est pas tous les ans. C’est donc un peu plus qu’une grippette.
Ce n’est pas non plus une grande peste. Une grande peste pouvait tuer la moitié de la population d’une ville, ce n’est évidemment pas le cas. Et, surtout, les grandes pestes tuaient toutes générations confondues. Or, le Covid tue essentiellement des personnes âgées et généralement avec des comorbidités. Je ne dis pas que c’est une bonne chose, car tout mort même au terme de la vie est une tragédie qui peine les proches, mais ce n’est pas du tout pareil. En gros, le Covid ne tue pas d’enfants. Depuis le début de l’épidémie et jusqu’à fin juillet, il y a eu en France quinze enfants décédés, adolescents compris, quinze personnes de moins de 19 ans. C’est-à-dire que – évidemment c’est très triste pour ces cas-là, bien sûr – c’est extrêmement rare ; tous avaient d’ailleurs des comorbidités. Ce n’est donc pas une grande peste.
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Le “syndrome” de Mohamed Ali
Non, nous ne sommes pas tous des Mohamed Ali…
Quel exemple de combativité, que ce soit sur le ring, pour ses droits, pour le droit des noirs, pour la liberté religieuse, etc.
Oui, Mohamed Ali (ex Cassius Clay) est une véritable légende. C’est une étoile, une « star », et peut-être bien plus pour les passionnés de boxe mais aussi pour les passionnés de « chemin de vie » extraordinaire.
Pour autant, nous ne sommes pas tous des « Mohamed Ali ».
Nous sommes ce que nous sommes. Mohamed Ali était qui il était, avec sa force, son courage, mais aussi ses faiblesses, comme tout être humain. C’est sa vie, vécue comme il l’a vécue. Lui rendre hommage est tout à fait légitime, car c’est une « légende ».
Mais vous faire croire que vous pouvez être un Mohamed Ali est un non-sens, peut s’avérer même dangereux. Aujourd’hui, je lis même, en substance dans certains articles, une certaine culpabilisation de ceux qui ne sont pas aussi battants que lui, avec les sempiternelles rengaines : « quand on veut, on peut », « si tu es dans telle situation, c’est entièrement de ta faute, regarde comment lui a réussi » ou bien « tout le monde peut réussir, la preuve, il y est arrivé, lui, alors bouge-toi … » : Destructeur plus que constructeur. Continuer la lecture